L'actualité culturelle des ados de Marne et Chantereine http://www.marne-chantereine.fr/
samedi 28 décembre 2013
Bonnes fêtes!
Le réseau de lecture publique de Marne et Chantereine vous souhaite de bonnes fêtes et une très bonne année 2014!
vendredi 6 décembre 2013
Les lauréats des Pépites du Salon du livre jeunesse de Montreuil 2013
Pépite du roman ado européen du salon du livre jeunesse de Montreuil 2013
La Double Vie de Cassiel Roadnight de Jenny Valentine, traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Diane Ménard, L’École des loisirs
Chap n'a pas cherché à se faire passer pour un autre, il a simplement laissé faire...
Dans ce foyer d'urgence pour jeunes paumés où il refusait obstinément de donner son nom, les gens du centre sont venus le voir avec une photo, celle d'un ado porté disparu qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Chap a fini par dire ce que les autres attendaient, que c'était bien lui Cassiel Roadnight. Et puis tout s'est enchaîné, la sœur de Cassiel est venue le chercher pour le ramener chez lui, dans sa maison, où l'attendaient sa mère et son grand frère.
Disponible dans le réseau de lecture publique de Marne et Chantereine
mardi 26 novembre 2013
Découvrez le nouveau programme culturel du réseau des bibliothèques de Marne et Chantereine
lien Livres ensemble - portail bibliothèques
Ateliers mangas à la médiathèque de Chelles les 11 et 25 janvier 2014
Ces ateliers permettront aux participants d’assouvir leur passion pour le manga.
Au-delà d'une inititation au dessin, c'est l'occasion pour les participants de se sensibiliser aux codes et à un univers narratif propres à la culture japonaise.
Samedi 11 janvier 15-17h pour les 8-12 ans. 15 participants.
Samedi 25 janvier 15-17h pour les 13 ans et plus. 15 participants.
Ces ateliers sont animés par Eurasiam, unique établissement d’enseignement supérieur en Europe à proposer des diplômes spécialisés sur le Japon (management ou arts, de niveau licence et master européen).
Sur inscription auprès de la médiathèque.
Romans en bataille, prix littéraire ados Marne et Chantereine
+ visuel (affiche format image)
Depuis septembre, et tout au long de l’année scolaire 2013 / 2014, les bibliothécaires du réseau de lecture publique de Marne et Chantereine et les professeurs documentalistes du district organisent la première édition du prix qui couronnera le meilleur roman ados.
Depuis septembre, et tout au long de l’année scolaire 2013 / 2014, les bibliothécaires du réseau de lecture publique de Marne et Chantereine et les professeurs documentalistes du district organisent la première édition du prix qui couronnera le meilleur roman ados.
Parmi les 43 romans
proposés, les 300 élèves de troisième et seconde participant au prix ont
sélectionnés six titres, qu’ils liront pour élire leur préféré.
Mais
ce n’est pas tout : les groupes d’élèves constitués dans les classes
devront défendre le roman choisi sous forme de présentation libre inspirée d’un
personnage, d’un thème, d’un extrait d’un roman. Les restitutions, dans un
format de 2 à 5 minutes, peuvent être une chanson, une vidéo, une mise en
scène, un roman-photo, et plus selon la créativité de chacun !
Les élèves ont donc toute
l’année pour se préparer à la battle
finale qui clôturera le prix et qui aura lieu le 16 mai 2014 au théâtre de
Chelles. Les groupes d’élèves choisis dans chaque établissement s’affronteront sur scène, accompagnés par un comédien du
théâtre.
Ce sera également l’occasion
de décerner le prix à l’auteur(e) lauréat.
En attendant de connaître le
meilleur roman ados de Romans en bataille 2013 / 2014, découvrez les six romans nomines, disponibles
dans vos bibliothèques de Marne et Chantereine :
1. Guerre : et si ca nous arrivait ? / Janne Teller (52,40 %)
2. Clash sur la ligne 9 / Cathy Ribeiro (46,49 %)
3. Par cœurs : nouvelles / Dominique Dyens (39,85 %)
4. Les proies / Amélie
Sarn (33,21 %)
5. Le garçon qui volait des avions / Elise Fontenaille (29,15 %)
6. 0.4 / Mike A.
Lancaster (28,41 %)samedi 23 novembre 2013
Christophe Ono-dit-Biot remporte le prix Renaudot des lycéens
Le prix Renaudot des lycéens 2013 a été décerné à Christophe Ono-dit-Biot pour son livre Plonger, publié aux éditions Gallimard. Une consécration pour cet écrivain qui a déjà remporté en octobre le Grand prix du roman de l'Académie.
Plonger est l'histoire de l'amour passionnel qui lia le narrateur, un sage journaliste parisien,à une fougueuse photographe espagnole, trop éprise de liberté , de mer et de requins, pour se contenter d'une simple vie de famille.
Ce document est disponible dans le réseau de lecture publique de Marne et Chantereine.
Des nouveautés romans ados dans le réseau de lecture publique de Marne et Chantereine
Lien portail réseau lecture publique Marne et Chantereine vers la liste de nouveautés
Le prix Goncourt des lycéens est attribué à ...
Sorj Chalandon pour son roman Le quatrième mur, éditions Grasset, 336 pages.
Disponible dans le réseau de lecture publique de Marne et Chantereine.
Le roman de l’ancien reporter de guerre parle de la guerre civile qui a déchiré le Liban pendant les années 1970 et 1980 sous un angle inattendu. L’histoire raconte comment un étudiant français engagé s’avance naïvement dans le projet de monter Antigone d’Anouilh à Beyrouth, une ville en pleine guerre. La guerre, la résistance et l’utopie, voilà les ingrédients qui ont fait pencher la balance en faveur du roman de Chalandon chez les presque 2 000 lycéens de 49 classes qui ont participé cette année au Prix Goncourt des lycéens 2013 en étudiant les 15 livres sélectionnés par l’Académie Goncourt le 6 septembre.
«Je suis touché et fier»
Dans une première réaction en direction des lycéens, Sorj Chalandon a déclaré : « Je suis touché et fier pour le livre et d'autant plus touché que ce prix est pur et cristallin (…) C'est l'une des plus belles choses que vous pouviez me faire à moi et tout ce que j'ai dans le ventre et dans le cœur ».
Dans Le Quatrième mur, Sorj Chalandon se met dans la peau de Georges qui se retrouve, malgré lui, en 1976 au cœur du conflit sanglant qui règne au Liban. Il a insisté de tenir la promesse faite à Sam, un ami grec, réfugié, juif, qui est en train de mourir, de réaliser Antigoneà sa place. Et cela malgré la guerre ou plus précisément pour faire taire les armes le temps d’une pièce. Tous les deux croient au pouvoir du théâtre et s’engagent dans une distribution pacifiste qui incluent des membres de toutes les communautés en guerre : le rôle d’Antigone, emblématique de la résistance, sera assurée par une Palestinienne, le roi Créon, symbole du roi qui met la loi au-dessus de tout, incarné par un chrétien et Hémon, le fiancé d’Antigone, qui se donne également la mort, sera interprété par un Druze et des chiites feront également partie de l’aventure.
La façade imaginaire
La clé du roman sera cette « façade imaginaire que les acteurs construisent en bord de scène pour renforcer l’illusion ». Ainsi explique Chalandon à travers son personnage Georges le sens du titre Le Qatrième mur. A la fin de l’histoire, les ennemis parlent enfin le même langage… jusqu'au moment la guerre reprend sa sinistre mission.
La langue de Sorj Chalandon fait ressentir son besoin d’expédier les expériences traumatisantes que l’écrivain a vécu en tant que reporter de guerre. Les massacres de Sabra et Chatila en septembre 1982 sont restés gravés jusqu’à aujourd’hui dans la mémoire de Chalandon : « je me suis toujours juré qu’un jour j’y retournerai pour faire ce que je n’avais jamais fait ».
Source : www.rfi.fr
Dans une première réaction en direction des lycéens, Sorj Chalandon a déclaré : « Je suis touché et fier pour le livre et d'autant plus touché que ce prix est pur et cristallin (…) C'est l'une des plus belles choses que vous pouviez me faire à moi et tout ce que j'ai dans le ventre et dans le cœur ».
Dans Le Quatrième mur, Sorj Chalandon se met dans la peau de Georges qui se retrouve, malgré lui, en 1976 au cœur du conflit sanglant qui règne au Liban. Il a insisté de tenir la promesse faite à Sam, un ami grec, réfugié, juif, qui est en train de mourir, de réaliser Antigoneà sa place. Et cela malgré la guerre ou plus précisément pour faire taire les armes le temps d’une pièce. Tous les deux croient au pouvoir du théâtre et s’engagent dans une distribution pacifiste qui incluent des membres de toutes les communautés en guerre : le rôle d’Antigone, emblématique de la résistance, sera assurée par une Palestinienne, le roi Créon, symbole du roi qui met la loi au-dessus de tout, incarné par un chrétien et Hémon, le fiancé d’Antigone, qui se donne également la mort, sera interprété par un Druze et des chiites feront également partie de l’aventure.
La façade imaginaire
La clé du roman sera cette « façade imaginaire que les acteurs construisent en bord de scène pour renforcer l’illusion ». Ainsi explique Chalandon à travers son personnage Georges le sens du titre Le Qatrième mur. A la fin de l’histoire, les ennemis parlent enfin le même langage… jusqu'au moment la guerre reprend sa sinistre mission.
La langue de Sorj Chalandon fait ressentir son besoin d’expédier les expériences traumatisantes que l’écrivain a vécu en tant que reporter de guerre. Les massacres de Sabra et Chatila en septembre 1982 sont restés gravés jusqu’à aujourd’hui dans la mémoire de Chalandon : « je me suis toujours juré qu’un jour j’y retournerai pour faire ce que je n’avais jamais fait ».
Source : www.rfi.fr
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